
Quand le salaire minimum n’attire plus les frontaliers et que le trajet pour aller au travail est déjà éprouvant.
Circulation lente aux heures de pointe, chantiers de construction, contrôles aux frontières, bureaux des impôts qui soudainement «imposent des taxes supplémentaires»... «L’attractivité du Luxembourg en tant que lieu de travail pour les artisans allemands a certainement souffert au cours des dernières années», explique Tom Wirion, directeur général de la Chambre des métiers du Luxembourg.