Le Conseil d’État vient de valider dans leurs grandes lignes les projets de loi amendés sur la flexibilisation des heures d’ouverture dans le commerce. Un imbroglio demeure autour des stations-services.
Même la Chambre de commerce doit l’admettre : «l’enchevêtrement des différentes dérogations introduites» sur les futures heures d’ouverture dans le commerce et les «nombreux renvois entre les articles créent une insécurité juridique à laquelle il conviendrait de remédier».
